Voyage au Yunnan

Le Yunnan se trouve à l'extrême sud de la chine, juste au sud est du Tibet.

Cette province accueil une très grande partie des minorités ethniques présentes en Chine.

A partir du 19eme siècle les colons Français vinrent d'Indochine pour y exploiter le cuivre de la région.

Pour commencer un très bref résumé (partiel) en vidéo (même pas monté, excusez moi)



Nous voici donc partis pour cette contrée.

Nous partons en train, couchette dur et cela pendant 40H !
Dommage qu'ils ne connaissent pas le TGV ici.



Arrivée le matin à Kunming nous galérons mais finissons par trouver un bus qui nous emmènent à Lijiang, une citée au nord ouest du Yunnan à 2400 m d'altitude. (10H de bus tout de même pour 14 euros par personne)

Pour obtenir ce tarif nous allons directement voir des "rabatteurs" qui nous font directement payé au chauffeur le trajet, ainsi nous ne passons pas par les guichet et leurs commissions.




Nous arrivons le soir à Lijiang ou nous trouvons un charmant Hotel pour 12 euros la chambre triple par nuit.



Apres une courte nuit, je décide de partir exploré seul la ville au petit matin. Petite ville de pronvince et je ne tarde pas à mettre ma capuche et à baisser la tête car tout le monde me regarde avec parfois un peu trop d'insistance.

Je fini par tomber vraiment par hasard sur la vielle ville qui est magnifique !

Un vrai petit saint paul de vence à la chinoise. Les rues encore désertent s'éveillent doucement et de petites grands mères s'activent devant leurs échoppes.


Je découvre la vielle ville et fini par arrivé près d'une ancienne pagode. J'y pénètre et travèrse une magnifique petite foret ou se mèlent les odeurs de pins et d'encens.

Finalement j'arrive à la pagode, déserte à première vue, mais un vieil homme me fait signe de rentrer. Il me montre des battons d'encens que je prend et me fait m'agenouiller. Deux seconde plus tard, l'encens allumé je me retrouve en trin de prié, seul dans cette pagode avec le vieil homme qui psalmodie sur ma droite en jouant du gong...

Lijiang la mgnifique réserve bien des surprises et malgré son aspect "synthétique" elle as su garder un charme authentique.



Nous découvrons notamment le Parc du dragon noir, à partir duquel romain et moi nous entamerons l'ascension du mont des éléphants (qui sert également de cimetière).




De nombreux mariés se font photographié sur les bords du lac. Ils sont tous en habits occidentaux , les habits traditionnels chinois ne semblent plus en vogue auprès des jeunes.



Les nuits à Lijiang sont également tres énimés et la vielle ville se transforment en discotheque karaoké géant. Elle s'illumine de mille feux et les bars rivalisent de bruit pour attirer le client. Impossible de parler dans ce mix infernal.


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Lundi nous partons pour les Georges du saut tigre. Situés à environ 3000 m.

Les Georges portent ce nom car un tigre aurait sauter d'une parois à l'autre pour éviter d'avoir à nager.

Après 2H de route dans un minibus loué pour l'occasion et conduis par un chauffeur fou, nous arrivons à Qiaotou et entamons l'ascension.

Des paysages sublimes, une ascension dantesque. arrivé depuis peu nous n'avons pas pu nous habituer à l'altitude et un soleil de plomb nous a littéralement plombé les jambes.

nous marchons néanmoins rapidement et arrivons le soir dans un petit village Naxi ou nous nous posames pour la nuit. Nous y rencontrames quelques francais, allemands, australiens, a moitié perdu, épuisés certainement, aventuriers surement.

Les Naxi sont une minorité qui a pour particularité d'être une société matriarcale. Dans cette société les femmes ont énormément de pouvoir et les hommes peuvent venir à la nuit tombé uniquement visiter les femmes chez elles et repartir au petit matin pour habiter chez leur mère.


Les paysages sont grandioses et nous font complètement oublié la duretée du trek.

le lendemain nous rentrons sur Lijiang, en chemin nous mangeons dans un restaurant, et comme par hasard il n'y a plus de riz ni de nouilles... On commence à avoir l'habitude, quand on arrive dans un resto tout ce qu'il y a de moins cher n'es comme par hasard plus disponible... alors que pour les chinois il y en a encore. Cela nous es arrivé de nombreuses fois...

En rentrant pour lijiang nous prenons un minibus toyota pour nous ramener. Un chauffeur fou une fois de plus qui a failli tous nous planter au deuxieme tournan en percutant un vehicule en sens inverse. On est passé a rien du tout de l'accident, notre chauffeur à pilé au dernier moment et s'est arreté ainsi que l'autre voiture. Ils ont bien rigolés mais nous on était plustot terrorisé. Par la suite il a continué à s'amuser à nous faire passer sous des cascades alors que nous avions les fenêtres ouvertes, à froler le precipice pour nous faire gueuller. Enfin, un vrai ptit rigolo.


De retour à Lijiang, nous profitons encore de la ville qui s'est entre temps remplis de chinois en vacance. (au point que il n'y avais plus d'argent dans les distributeurs de la ville).

Nous rentrons quelques jours plus tard en bus à Kunming

Ou nous profitons du temps qui nous reste pour visiter le musée des minorités ethniques chinoises et le Lan de Dian chi.



A Kunming je tombe sur un Israéliens, qui pestent toute la rage de son corp contre ces chinois qui essayent de le "fucker" sans cesse.

Retour en avion pour 90 euros et nous voila qui avons économisé 37h de train... ouf !

En arrivant à l'aéroport de Pekin nous sommes assaillis par les faux chauffeurs de taxis qui nous prennent pour des bleus et nous proposent des prix exorbitants pour nous rendre en ville. Les vrais chauffeurs de taxis present refusent pour certains de nous prendre afin de nous obliger a uttiliser les "taxis voleurs". Nous en trouvons un qui finira par nous réclamer de l'argent en plus une fois arriver à l'appart. Quelques insultes et menaces plus tard nous sommes rentrer. Le chinois est un filou qui n'hesite pas a pigeonner. Ici malgré la gentillesse de certains, ce sont malheureusement une majorité qui sont invivable.

En bref un magnifique voyage hors du temps et des sentiers battus. Il faudrait 5 pages de blog pour tout raconté, je me contenterais donc de vous le laissé imaginer.